Nous avons été pleines de bonne chance parce-que dans Pogoanele nous avons rencontré beaucoup de lieux ou nous pouvions jouer football.Quand j'avais cinq ans je suis entré dans la ronde.Toutes les vacances, pendant trois mois, nous jouions football là bas.Grandes matches, avec une tension plus de la limite.
Jour ou nuit, n'importait pas.Sur le terrain il y avait quelques enfants, lesquels unique désir était la religion football.Le terrain c'est un court banal, transformé par nous, dans un veritable champ du lutte.
Nous avons créé une equipe formidable, omogene, le jeu était solide, les relations caillées entre les titulaires...Les gagneurs recevraient un cadeau par les fanes extasiées.
Les prixes étaient presque astronomiques.Grandes sommes d'argent étaient dans le jeu, mais qui n'affectaient pas notre concentration.
Dans le millieu du terrain il y a maintenant aussi un tour haut de fer.Ma tête le connaisse bien.Dans l'hiver viendront les images avec les heros des rues arrivés maintenant a un age significative, l'age de la maturité sportive necessaire pour devenir grandes champions.
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